Biographie

Un peu comme Obélix est tombé dans la potion magique quand il était petit, moi j’ai ‘’atterrie’’ dans la musique lorsque j’étais enfant. C’est comme si chaque évènement, chacun des croisements de mon chemin de vie a été ponctué par la musique, d’une façon ou d’une autre. La musique sur la danse latine sur laquelle on dansait durant les party d’anniversaires, les duos piano/guitare avec mon père et les duos de piano 4 mains avec ma cousine, les chansons que l’on inventait entre amis et cousins, le band que l’on a essayé de monter au primaire, etc.

 

 Et puis, je me souviendrai toujours mon premier instrument : une mini marimba, qui est l’instrument Nationnal du Guatemala, le pays de ma mère.

 

Très tôt j’ai été fascinée par les sons, par la musique. Le vent dans les arbres, qui me faisaient penser à des voix, comme si la nature parlait, l’eau des ruisseaux, le chant des oiseaux, etc.

J’ai toujours accordé plus d’importance aux sons, et aux intonations qu’aux mots et paroles en tant que telle. Autant dans les conversations, que dans les chansons. C’est pourquoi, jusqu’à l’âge adulte j’ai toujours eu du mal à retenir les paroles des chansons, car je focussais pratiquement que sur les hauteurs de sons et les mélodies !

 

Mes premières leçons de piano ont commencé lorsque j’avais 7 ans.

Étant de nature très rêveuse et réservée, il était difficile pour moi de me concentrer dans mes cours à l’école, et mon enseignante, un peu découragée, a suggéré à mes parents de m’emmener chez un spécialiste afin que l’on me prescrive du ritalin.

Mes parents ont refusé, et m’on plutôt inscrite à des cours de piano, afin que je développe de cette façon-là ma concentration.

Merci à mes parents ! 

C’était là le début d’une profonde et authentique amitié avec le piano, qui se poursuis encore à ce jour !

 

Ayant une façon d’apprendre atypique et autodidacte, il faut avouer que même le cadre stricte des leçons de piano ne me plaisaient pas toujours. Souvent je préfèrais repiquer des mélodies moi-même, que j’entendais dans les films ou à la radio, plutôt que de pratiquer les morceaux que mes profs de piano me donnaient. Je n’étais pas toujours une élève ‘’facile’’ et disciplinée, je le reconnais maintenant, mais tous mes profs de musique ont reconnu mon potentiel et talent, me répétant que si je pratiques bien et plus, je pouvais réellement faire quelquechose de bien avec ce talent.

 

J’ai compris ce qu’ils essayaient de me dire et de me transmettre qu’une fois que j’ai commencé à enseigner et à guider mes propres étudiants par la suite ! hahaha

 

Ayant la forte conviction que ma voie était intrinsèquement liée à la musique, j’ai poursuivis mes études à l’École de musique Vincent-d’Indy, au niveau collégial en piano Classique.

J’ai ensuite continué à l’Université de Montréal, pour mon baccalauréat.

 

C’est là que j’ai rencontré une femme et pianiste au cœur d’or et aux mains de fées : Ekaterina Mikhaïlova, une grande dame, avec une âme magnifique, un don évident pour le piano, et une grande générosité. En Russie, elle a été reconnue comme enfant prodige à l’âge de 5 ans, alors qu’elle gagnait déjà des concours, et on l’a même nommée : ambassadrice de St-Petersbourgh.

Avec elle comme mentor et enseignante de piano, je peux dire sans réserve, que mon niveau pianistique a fait un bon considérable en avant.

Plus qu’une enseignante, elle a été pour moi comme un ange que l’on aurait mis sur mon chemin, et elle a été comme une seconde mère.

Elle me donnait souvent des cours de 3h au lieu d’une heure, ayant à cœur de me voir progresser. On dînait souvent ensemble, j’allais parfois chez elle pour nos cours, et on se déplaçait parfois avec une seule voiture, etc.

Elle m’a transmis, au travers de sa façon de voir et d’entendre les sons, une approche et attention quasi mystique dans ma façon d’aborder le piano.

Elle me disait souvent ‘’d’arrêter et d’écouter’’, avant de jouer la toute première note d’un morceau. Elle me disait ‘’ Attend ! tu commences trop vite. Écoute ! Entend la note, le son que tu veux jouer, entend le en premier dans ta toute, et joue le ensuite, une fois que tu sais comment tu veux qu’il sonne !’’ Elle m’a fait réaliser que la musique existe déjà dans l’air, avant qu’on la prosuise ! Grâce à elle , j’ai développé la présence, la conscience, la méditation du piano.

C’est ce que je tente de transmettre moi aussi avec mes propres élèves désormais.

Je l’ai même suivie lorsqu’elle a déménagé à Val-d’or pour enseigner au conservatoire là-bas. J’y ai passé 2 ans, durant lesquelles j’ai pris des cours de percussions classiques en plus d’approfondir le piano.

 

En parallèle de mes études Universitaires, je suis allé 2 été de suite en Suisse, pour suivre une formation avec Tama-Do Academy, où l’on apprend à se développer et donner des soins par les sons, les couleurs et les mouvements ( Qi-Gong).

C’est en Suisse que j’ai vraiment commencé à sentir le réel potentiel de guérison et de bienfaits des sons et de la musique.

Dans les Alpes Suisses, auprès d’une nature riche et majestueuse, en faisant des pratiques de qi-gong et de méditations quotidiennes , en jouant le piano là-bas aussi, j’ai vraiment pu développer un lien encore plus profond avec ma propre musique intérieur, et ainsi commencer à saisir de plus en plus comment transmettre cela à l’extérieur.

 

Ainsi, je me suis toujours sentie guidé, soutenue par des mentors que la vie a su placer sur mon chemin, toujours au moment juste.

 

Cela n’a pas toujours été facile. Des défis et obstacles, il y en a eu.  À de nombreuses reprises. Je pense à une période particulière, que je pourrais appeler ma nuit noire de l’âme. Probablement liée à mon retour de Saturne, de 27 à 29 ans.

 

L’Hiver 2019, alors que j’étais à Val-d’Or, pour mes études en piano là-bas, mon père nous a quitté, d’une façon assez tragique…

Il n’y a pas de remèdes mirâcles pour ces choses là…

Et j’ai fait ce que je savais le mieux faire à ce moment-là, comme je l’avais toujours fait : Encore plus de Piano ! Souvent, et encore aujourd’hui, pour moi parler de mes émotions n’est pas toujours aisé, mais je transmute mes émotions par la musique, et ce que j’ignore comment nommer, je le nomme par la musique.

 

C’est ainsi que, ayant connue personnellement la magie et les bienfaits des soins sonores et le pouvoir de la composition et interprétation musicale, j’en ai fait mon ‘’arme secrète’’, que je souhaite transmettre à plus de gens possible ! De plusieurs façons différentes, mais toujours connecté aux sons : L’enseignement, la composition des chartes astrologiques musicales, les Soins et massages sonores sur table à massage :avec diapasons sur points d’acupuncture, foulards de soies de couleurs et sons chamaniques, etc.

 

Voilà pour mon parcours jusqu’à présent, là où je suis rendue aujourd’hui !

 

N’hésitez pas en entrer en contact avec moi, cela me fera plaisir de discuter ensemble, partager nos savoirs, échanger, répondre à vos questions, etc !

 

Que la magie des sons éveille et nourrisse votre âme de ses multiples bienfaits !

 

Valérie